Une semaine après avoir publié un message Air
Max 90 critiquant l'attitude «désabusée» de professeurs de son établissement scolaire de la région vichyssoise, une documentaliste a été licenciée pour faute grave.
«Combien de profs à être désabusés dans l'éducation nationale?» Pour avoir publié ce message sur Facebook, une jeune aide-documentaliste a été licenciée en novembre dernier par l'établissement scolaire de l'agglomération vichyssoise qui l'employait, raconte le quotidien régional La Montagne. La jeune femme réagissait après avoir surpris une conversation entre professeurs qu'elle estimait désobligeante pour leurs élèves, lors d'une pause déjeuner dans le réfectoire de l'établissement. «Ils parlaient d'une certaine classe en se moquant des élèves, les traitant de bulots et d'huîtres», tn pas cher explique-t-elle au quotidien régional. «Ils allaient trop loin. Je me suis dit, on confie nos gamins à des gens comme ça?» Elle poursuit: «Surtout qu'il y avait des élèves dans la salle du réfectoire. Ils entendaient tout.»
Une fois publié, son message est largement commenté par ses contacts sur Facebook. Finalement, l'un d'entre eux envoie un mail de dénonciation anonyme à la direction de l'établissement, raconte-t-elle. «Cette personne dénonçait plus ce que j'avais dénoncé qu'elle ne me dénonçait moi-même.» Deux jours plus tard, elle est convoquée par la direction de l'établissement qui lui notifie que son licenciement est envisagé, explique-t-elle. Le soir même, elle rédige une lettre d'excuse dans laquelle elle s'explique. Las, elle est convoquée le lundi suivant et se voit remettre une convocation pour un entretien préalable de licenciement. Trois jours plus tard, elle est licenciée pour faute grave. Elle est renvoyée sans préavis, assure-t-elle, Nike
TN cinq mois après le début de son contrat aidé qui devait durer un an. «On me reproche d'avoir
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