mercredi 3 juin 2015

le mode d’approche des VTC et d’embarquement de leurs clients

Que reprochent les taxis auxVTC  
 
Les chauffeurs de taxi paient trèscher leur licence (jusqu'à 230 000euros à Paris, qui compte 18 000taxis) et ne peuvent exercer qu'après avoir suivi une formation sanctionnée par un examen. Leurs concurrents VTC, eux, ne s'acquittent que <strong>tn pas cher en cuir</strong> d'une centaine d'euros pour pourvoir s'inscrire à un registre leur permettant de transporter des clients dans leurs véhicules haut de gamme. 
 
Autre grief des taxis : le mode d'approche des VTC et d'embarquement de leurs clients. Grace à des applications sur smartphones, ces derniers répondent au plus vite aux demandes de courses. Enfin en théorie, car ils sont aussi victimes de leur succès et réservent souvent leurs services, aux heures de pointe et le week-end, à leurs clients les plus assidus. Une efficacité technologique que le gouvernement, voulant arbitrer fin avril le conflit entre les deux parties, a souhaité pondérer, portant à quinze minutes minimum le délai entre la commande d'un VTC et la prise en charge du client. Ce qui n'a pas suffi à calmer la colère des taxis, qui réclament trente minutes minimum entre la commande <strong>tn pas cher taille 40</strong> et l'embarquement, notamment sous la férule des deux acteurs parisiens de radio-taxis (les plus directement touchés par la concurrence des VTC), à savoir les compagnies G7 et Taxis Bleus (10 000véhicules à eux deux dans la capitale). 
 
Que propose le député Thomas Thévenoud  
 
Le rapport est confidentiel. Mais selon certaines sources, plusieurs propositions sont dans les tuyaux. La première, et la plus novatrice pour les taxis : la possibilité pour les clients de géolocaliser les voitures, via des applications smartphone, et de traiter directement avec les chauffeurs, sans passer par les centrales de réservation. A l'instar des VTC. Evidemment, ce service aura un cot pour les chauffeurs, mais il présentera un intérêt majeur face aux VTC, qui se sont distingués via ce créneau. Evidemment aussi, ce service est très froidement <strong>nike tn soldes</strong> accueilli par G7 et Taxis Bleus, pour lesquels le manque à gagner sera considérable (ces centrales peroivent une commission pour toute course commandée par leur intermédiaire). 
 
Autre proposition d'importance : la révision du mode de distribution des plaques pour les taxis. Pour les conducteurs qui ne souhaitent pas racheter une licence en circulation, il sera toujours possible de postuler pour la délivrance d'une plaque gratuite auprès de la préfecture, mais dorénavant, il leur sera interdit de déposer un dossier dans plusieurs villes pour raccourcir les délais. 
 
Troisième idée phare du rapport : la sanctuarisation d'une voie réservée aux taxis sur l'autoroute A1, qui relie la capitale à l'aéroport Charles-de-Gaulle, pour faciliter leur circulation. Et ce dès2015. Autre proposition : qu'à l'instar des compagnies de VTC, qui proposent <a href="http://www.basketpok.com/"><strong>Nike TN</strong></a> des tarifications fermes avant même que la course soit effectuée, les clients de taxis connaissent le montant de l'addition de leur trajet pour l'aéroport par le biais d'un forfait. 
 
Dans une veine de modernisation, Thomas Thévenoud propose également la généralisation du paiement par carte bancaire dans les taxis. Enfin, à l'adresse, entre autres, des étrangers, il invite à instaurer une couleur universelle aux taxis, à l'instar du noir à Londres ou du jaune à New York. 
 
Quelle est la situation àl'étranger  
 
Début juin, les fameux black cabs ont menacé de paralyser Londres, en réaction à l'activité des véhicules du mastodonte Uber, société leader des VTC fondée à San Francisco, présente dans le monde entier. En Belgique, mi-avril, la justice - en l'occurrence <strong>nike tn araignée</strong> le tribunal de Bruxelles - a décidé que l'activité d'Uber n'était pas conforme à la réglementation du royaume. Décision contestée par l'UE, laquelle a considéré que l'arbitrage s'expliquait par la protection du lobby des taxis du pays. Mais l'avis de Bruxelles n'a rien changé : Uber ne roule plus dans le plat pays, au risque d'une amende 10 000euros pour chaque conducteur de la société qui se fait contrler. Dissuasif. 
 
     

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