mardi 23 septembre 2014

Ukraine : le bilan des victimes s'alourdit, des combats sporadiques rapportés

Le dernier bilan des Nations unies, Chaussures TN datant du 21 septembre, fait état de 3 245 morts depuis le début des affrontements entre milices prorusses et forces loyalistes dans l'est de l'Ukraine. Lors de la présentation d'un rapport sur la situation dans cette zone, mardi 23 septembre à Genève, l'ONU a estimé que le nombre de victimes pourrait être « significativement plus élevé », en raison du peu de sources disponibles et viables permettant de l'établir. Par ailleurs, ne sont pas décomptés les 298 personnes tuées lors du crash du vol MH17 de la Malaysia Airline.
Le document onusien met par ailleurs en évidence, le nombre moyen de victimes quotidiennes depuis le début de cette guerre, en avril. Une proportion en baisse depuis la signature d'un cessez-le-feu précaire entre les deux parties, le 5 septembre.
Outre la situation préoccupante des quelque 500 à 800 personnes détenues par les groupes armés, les Nations unies s'inquiètent des violations des droits de l'Homme et de la justice perpétrés tant pas les forces ukrainiennes que les séparatistes.
Le rapport de la communauté internationale considère aussi que « la situation des personnes déplacées est alarmante ». Leur nombre a doublé depuis août. Au 18 septembre, 275 498 s'étaient enregistrées : un chiffre très en deçà de la réalité, beaucoup évitant cet enregistrement. L'ONU appelle à une mobilisation de l'aide internationale pour « éviter un hiver désastreux », estimant particulièrement fort que le risque de se retrouver dans un cas d'« urgence humanitaire ».
RETRAIT DE L'ARTILLERIE
Sur le terrain, Nike Tn les rebelles prorusses ont annoncé mardi avoir commencé à retirer leur artillerie dans l'est du pays, conformément à ce qui avait été négocié lors des pourparlers de Minsk. « Dans les endroits où l'artillerie ukrainienne n'a pas été retirée, nous n'avons pas retiré la nôtre non plus », a toutefois ajouté Alexandre Zakhartchenko, le « premier ministre »

lundi 15 septembre 2014

Google lance un smartphone « low cost » en Inde à 80 euros


Google a dévoilé lundi 15 septembre Android One, Air Max 90 Homme son smartphone « low cost » vendu 81 euros (6 399 roupies), d'abord destiné au marché indien et qui devrait ensuite être lancé dans d'autres pays d'Asie du Sud. Google a également annoncé une série de partenariats avec des fabricants tels qu'Acer, ASUS, HTC et Lenovo pour produire ces téléphones « low cost ».
Après l'Inde et son gigantesque marché, Android One devrait être proposé en Indonésie, au Bangladesh, Nike Free Run au Pakistan, au Népal, au Sri Lanka et aux Philippines d'ici à la fin de l'année. Les mises à jour du système d'exploitation se feront à distance, selon Google. Le téléphone dispose d'une radio FM et de deux prises micro-SIM.
Google collabore avec les opérateurs locaux pour offrir, selon ses dires, nike shox pas cher des forfaits permettant un accès à Internet peu onéreux à des clients aux ressources limitées et qui ont peu d'expérience de la Toile.

samedi 6 septembre 2014

Rythmes scolaires: nouvelle manifestation à Paris


Quelques centaines de parents, Tn Requin d'enfants et une dizaine d'élus ont manifesté samedi à Paris contre la réforme des rythmes scolaires, dénonçant un "transfert" du coût et de la gestion aux communes, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Derrière une banderole "Abrogation de la réforme des rythmes scolaires", le cortège, ouvert par deux dromadaires, a quitté peu après 15H00 les abords du Conseil d'Etat, dans le centre de Paris, pour se diriger rue de Grenelle où une délégation a été reçue par le ministère de l'Education nationale.
"Le gouvernement n'arrive pas à recruter 60.000 enseignants et il nous demande de recruter 120 animateurs ?", s'est étonné Nicolas Dupont-Aignan, maire d'Yerres (Essonne). Le président de Debout La République estime qu'il faudra "augmenter les impôts locaux" pour pouvoir mettre en place cette réforme.
"Nous allons lancer une grande pétition nationale", a annoncé l'élu, assurant "ne pas être opposé à la réforme des rythmes scolaires mais au transfert de gestion aux communes".
"Cette réforme est sans courage et sans ambition", Nike Air Max a déclaré Christian Schoettl, maire de Janvry (Essonne), venu avec deux dromadaires, dont il dit être le propriétaire. "Si on force le rythme d'un dromadaire il se couche... Comme un enfant qui reste couché le jeudi", "épuisé" par la réforme des rythmes, a expliqué l'élu pour justifier la présence des deux animaux en tête de cortège.
Anne-Laure Blanc, 59 ans, une grand-mère de quatre petits-enfants venue manifester, est persuadée que "cette réforme peut s'appliquer à Paris mais pas dans les petites communes". "Comment peut-on demander à un petit village de trouver un animateur quand il n'y a ni train ni bus dans ce village ?", s'étonne-t-elle.
"Depuis la rentrée, mes enfants n'ont eu aucune activité périscolaire", s'exaspère pour sa part Catherine Dehosse, 46 ans, enseignante.
"Le dialogue ne peut avoir lieu que si le droit est respecté", a réagi auprès de l'AFP le ministère de l'Education nationale, appelant à "l'ouverture de toutes les écoles le mercredi matin", condition préalable pour que des "solutions soient apportées aux difficultés objectives".
"Notre espoir repose sur l'avis du Conseil d'Etat, attendu pour septembre", a déclaré Christian Schoettl, à sa sortie du ministère, promettant de "ne rien lâcher".
Mercredi, première journée test, Air Jordan Pas Cher 23 maires ont bloqué l'accès à leurs écoles (21 totalement et 2 partiellement) pour contester la réforme, qui rétablit la cinquième matinée de classe, généralement le mercredi matin. Les activités périscolaires sont à la charge des communes, facultatives et partiellement financées jusqu'en 2015 par l'Etat et les caisses d'allocations familiales.
L'an dernier, 4.000 communes ont lancé la réforme, devenue obligatoire cette année pour 4,6 millions d'écoliers dans les 20.000 communes restantes.